la compagnie de la commune

Géographie(s) variable(s)

Georges Perec : "W ou le souvenir d'enfance"

Louis Aragon : "Blanche ou l'oubli"

Mary Barnes : "Voyage à travers la folie"

Réécriture de tests cliniques




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Distribution :

Danseuses : Florence Bas, Yoko Higashi, Balkis Moutashar

Danseur-comédien : Jean-Marc Fillet,

Comédiens : Stéphane Kordylas, Emma Mathoulin


Photographies/Scénographie : Arièle Bonzon

Assistant/Cadreur  : Bruno Moncel

Lumières /Régie: Serge Lattanzi

Géographie(s) Variable(s)

Mise en scène : Béatrice Bompas

Création 2011/2012

Ce sont des histoires, peut-être plutôt des instantanés universels (souvenirs d'enfance, d'événements, de situations, traces que portent les êtres) empruntant le chemin de l'imaginaire, effleurant, explorant les mécanismes fragiles de la mémoire et de l'oubli.

Ce sont des fragments, des paroles, des images, des sensations et des ressentis familiers...

En quelque sorte ce spectacle est construit comme l'est notre mémoire, il est composé d'éléments disparates et pourtant uniques (texte, danse, photographie) raconte l'intime et l'universel, dévoile un univers indicible mesure du temps et de l'espace, aussi indicible que notre mémoire et les trésors d'humanité qu'elle recèle.

Notre mémoire est constituée autant de souvenirs liés au Verbe, que de souvenirs non verbaux. Deux grands langages s'apprivoisent, l'un porteur d'une pensée et d'une émotion mises en mots par les comédiens avec la parole de Perec, d’Aragon et de Mary Barnes, l'autre porteur d'une pensée et d'une émotion mises en gestes par les danseurs. L'un essaye de rattraper, d'expliquer, de justifier sans doute les tremblements, les effondrements, les renoncements de la mémoire. L'autre déconstruit  le temps, l'espace, dénoue les fils de la mémoire, ravaude l'oubli.

Créer l’espace pour une déclinaison de la photographie. Celle-ci est projetée, mise à distance; existe  au plateau en tant qu'objet /décors mental, preuve tangible d'une histoire passée. Et en tant qu'accessoire participant à la composition ou recomposition dans l'instant présent de la situation de jeu. Chaque photo proposée invite à l'évocation de son histoire personnelle. Ce traitement spécifique de la place de la photographie dans la dramaturgie du spectacle en fait un partenaire, un langage à part entière qui développe sa propre grammaire de l'espace dans un univers esthétique très particulier qui joue sur les ombres et les couleurs.

Compagnie de la Commune

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Compagnie de la Commune

 

There are some stories, perhaps rather the universal flashs (memories of childhood, of events, of life situations, traces registered in everybody) taking the path of the imaginary one, skimming, exploring the fragile mechanisms of the memory and the lapse of memory.


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compagniedelacommune@free.fr